Le pas des portes est leur demeure En attendant l’aiguille de nuit. Paso-doble, paso-doble Et les murmures qui tintent à l’intérieur ? Les rais d’un lumineux ailleurs ? Sourds aux séductions angéliques Aux casuistiques fantomatiques Sur le seuil ils guettent au frais L’aventure des jeunes pas. Juste un nouveau tempo Un enjouement les surprend ? Paso-doble, paso-doble La cadence. Suspens et ressauts. Au compas de nos chassés Le cœur se desserre. Chaque passe dissipe son ombre Et la poussière des mémoires Paso-doble, paso-doble Bientôt s’envolent les tourterelles du soir. Paso-doble, paso-doble Place nette à la danse de Nuit ! Share this:TwitterFacebookWordPress:J’aime chargement…