La pointe de l’aiguille La douleur exquise L’éclat du pétard L’étoile à ton doigt La goutte Froide Qui choque Une aile de peau sous ta nuque Plante poignet et l’aine Chavire Au cru du bas-ventre Au sexe Engourdi d’attente L’intime caracoule En son jouir Ménage territoires tremblés Bises appointées Aux confins De Terre Sire Intime rit invite en dolines Frappe Nostalgie présomption espérance Dans le chas d’aiguille à l’étroit de l’être Sont rapportées Le réel triomphe Mais surpris l’intime Transmute rapières en conscience d’être L’intime est le corps De ce qui te meut Il débonde en toi L’invisible luit Et le temps est là En nappe immobile en brouillards perlés Te voici prairie et bruit de la ville Feu marais ou vent Unité sauvage Poème de toi Share this:TwitterFacebookWordPress:J’aime chargement…