Ô forme parfait’, ô figur’ tracée
Aux lignes pures, aux douceurs algébriques,
T u me remplis, abscisses et ordonnées
J’ai le cœur qui débord’, voilà le hic.
Mon asymptote
J’oublie les potes
Mon nombre pi
Tu m’éblouis
Je rêv’ d’un nouveau lieu géométrique :
Nos angles enlacés feront un somme,
J’abaisse la hauteur et c’est magique,
Ton côté opposé me met en forme.
J’aime tes courb’s, je tends vers l’infini
Mon centre s’enracine sans gravité
Et dans la verticale du croquis
Vers le sommet nous nous sommes haussés.
Mais voilà que revienn’ nt nos divisions
Où est passé notre facteur commun ?
Ah !Le second degré d’nos émotions
S’est bien figé. .. il ne reste plus rien.
Plus d’ asymptote
J’r’vois mes potes
Mon nombre pi
S’est évanoui