Son cri, clameur de vie, dans l’ignorance du chant

Sa démarche, comme d’un pied bot, dans l’oubli du glissement,

Reniements de la grâce

Eternellement solitaire

Qui nous berce de son esseulement

Nous sanctifie de son mystère.

Ses palmes enfouies

L’âme des eaux calmes

Entre les écueils des reflets notre rame

Toute blancheur

Qui dissipe les apparences trompeuses.

Notre foi, notre espérance

Le gonfalon du col d’un cygne

Quand il sinue plus fort que le vent.

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